Le sujet étant récurrent dans mon couple, j'appelle vos avis. (d'ailleurs, mon chéri me surveille alors je me permets de lui passer un p'tit coucou ici: Bonjour mon M'our , c'est quand que tu participes? )
Donc, dans l'idée de faillites bancaires en chaine, de fermetures des échanges monétaires, et donc de fermetures des magasins, gros coup de panique, les gens cessent leurs activités et ne pensent plus qu'à faire des réserves. Les choses ne s'arrangent pas rapidement, il faut se débrouiller par soi même.
Que vont faire les citadins?
Selon moi, le gros de la casse se fera en ville. Partir à la campagne, pour aller piller les quelques réserves dans les exploitations agricoles environnantes, oui, mais faire 60 km pour attérir au fin fond de la campagne sans avoir la moindre idée de comment y trouver un abri et faire pousser sa nourriture, je ne vois pas le français moyen faire cela. Ce qui nous sauvera, c'est nos connaissances, notre aptitude à faire face aux situations difficiles.
Mon homme lui, voit un exode massif et des hordes de citadins débarquer dans les hameaux. Il voit un scénario catastrophe.
Il a même, dans un centre commecial, arrêté un passant pour lui demander ce qu'il ferait en cas de famine, d'arrêt d'approvisionnement alimentaire. Réponse pas concluante: "on n'y pense pas, on s'adapte"
L'idée de l'exode, partir dans l'inconnu, me semble très peu probable, c'est un risque trop important que peu de gens prendront, c'est se retrouver non seulement sans nourriture, mais aussi à la recherche d'eau et d'abris. Si les gens partent des villes, ils le feront au dernier moment, quand plus d'espoir ne sera possible dans l'attente, quand la violence aura atteint un stade de combat individuel qui aura déjà fait beaucoup de dégats et l'état physique et mental sera alors très dégradé pour les personnes restants. Les gens qui partiront le feront vers un endroit qui leur est connu, où ils pensent pouvoir trouver refuge.
Du moins, c'est ce que je pense, que les malades, les dépressifs, les personnes âgées ne feront pas de vieux os dans un tel carnage, que la force mentale pour se sortir d'une telle situation, peu de gens l'ont, et que donc, cela nous retire une partie de l'épine.
Donc, dans l'idée de faillites bancaires en chaine, de fermetures des échanges monétaires, et donc de fermetures des magasins, gros coup de panique, les gens cessent leurs activités et ne pensent plus qu'à faire des réserves. Les choses ne s'arrangent pas rapidement, il faut se débrouiller par soi même.
Que vont faire les citadins?
Selon moi, le gros de la casse se fera en ville. Partir à la campagne, pour aller piller les quelques réserves dans les exploitations agricoles environnantes, oui, mais faire 60 km pour attérir au fin fond de la campagne sans avoir la moindre idée de comment y trouver un abri et faire pousser sa nourriture, je ne vois pas le français moyen faire cela. Ce qui nous sauvera, c'est nos connaissances, notre aptitude à faire face aux situations difficiles.
Mon homme lui, voit un exode massif et des hordes de citadins débarquer dans les hameaux. Il voit un scénario catastrophe.
Il a même, dans un centre commecial, arrêté un passant pour lui demander ce qu'il ferait en cas de famine, d'arrêt d'approvisionnement alimentaire. Réponse pas concluante: "on n'y pense pas, on s'adapte"
L'idée de l'exode, partir dans l'inconnu, me semble très peu probable, c'est un risque trop important que peu de gens prendront, c'est se retrouver non seulement sans nourriture, mais aussi à la recherche d'eau et d'abris. Si les gens partent des villes, ils le feront au dernier moment, quand plus d'espoir ne sera possible dans l'attente, quand la violence aura atteint un stade de combat individuel qui aura déjà fait beaucoup de dégats et l'état physique et mental sera alors très dégradé pour les personnes restants. Les gens qui partiront le feront vers un endroit qui leur est connu, où ils pensent pouvoir trouver refuge.
Du moins, c'est ce que je pense, que les malades, les dépressifs, les personnes âgées ne feront pas de vieux os dans un tel carnage, que la force mentale pour se sortir d'une telle situation, peu de gens l'ont, et que donc, cela nous retire une partie de l'épine.