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Leap 2011 anticipations ...

3 participants

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1Leap 2011 anticipations ... Empty Leap 2011 anticipations ... Dim 16 Jan - 12:26

pragma tic



Bonjour,

L'équipe Leap 2020 est composée d'un ensemble d'universitaires internationaux que l'on peut qualifier de projectionnistes.
Leur avis est intéressant car il est vraisemblablement peu instrumenté, ils s'autofinancent.
Leurs études sont surtout économiques, et un peu anthropologiques, je ne pense pas qu'ils aient intégré le phénomène de raréfaction des ressources, ils traitent donc avant tout, comme la grande majorité, des symptômes, mais contrairement à la grande majorité, ils ne les sous-estiment pas.
Un avis à ne pas négliger, selon moi, même s'ils se sont fait surprendre par la capacité du système à résister jusque là, ce qui a contribué à les décrédibiliser. Mais je crains que le temps ne leur donne raison, au-delà même de ce qu'ils imaginent.

Aujourd'hui, dans ce GEAB N°51 qui présente nos trente-deux anticipations pour l'année 2011, nous estimons que l'année à venir sera une année charnière dans ce processus s'étalant donc entre 2010 et 2013. Elle sera en tout état de cause une année impitoyable car elle va en effet marquer l'entrée dans la phase terminale du monde d'avant la crise (1).

Depuis Septembre 2008, moment où l'évidence de la nature globale et systémique de la crise s'est imposée à tous, les Etats-Unis, et derrière eux les pays occidentaux, se sont contentés de mesures palliatives qui n'ont fait que masquer les effets de sape de la crise sur les fondements du système international contemporain. 2011 va, selon notre équipe, marquer le moment crucial où d'une part ces mesures palliatives voient leur effet anesthésiant s'évanouir tandis que, au contraire, vont brutalement surgir au premier plan les conséquences de la dislocation systémique de ces dernières années (2).

En résumé, 2011 va être marquée par une série de chocs violents qui vont faire exploser les fausses protections mises en place depuis 2008 (3) et qui vont emporter un à un les « piliers » sur lesquels reposent depuis des décennies le « Mur Dollar ». Seuls les pays, collectivités, organisations et individus qui ont réellement entrepris depuis trois ans de tirer les leçons de la crise en cours pour s'éloigner au plus vite des modèles, valeurs et comportements d'avant la crise, traverseront cette année indemnes ; les autres vont être emportés dans le cortège de difficultés monétaires, financières, économiques, sociales et politiques que réserve 2011.

Ainsi, comme nous considérons que 2011 sera globalement l'année la plus chaotique depuis 2006, date du début de nos travaux sur la crise, notre équipe s'est concentrée dans le GEAB N°51 sur les 32 anticipations de l'année 2011, qui comportent également nombre de recommandations pour faire face aux chocs à venir. C'est ainsi une sorte de carte prévisionnelle des chocs financiers, monétaires, politiques, économiques et sociaux des douze prochains mois qu'offre ce numéro du GEAB.

Si notre équipe estime que 2011 sera l'année la plus terrible depuis 2006, date du début de notre travail d'anticipation de la crise systémique, c'est parce qu'elle est à la croisée des trois chemins du chaos mondial. Faute de traitement de fond des causes de la crise, depuis 2008 le monde n'a fait que reculer pour mieux sauter.

Un système international exsangue
Le premier chemin que la crise peut prendre pour générer un chaos mondial, c'est tout simplement un choc violent et imprévisible. L'état de délabrement du système international est désormais tellement avancé que sa cohésion est à la merci de toute catastrophe d'envergure (4). Il suffit de voir l'incapacité de la communauté internationale à efficacement aider Haïti depuis un an (5), des Etats-Unis à reconstruire la Nouvelle Orléans depuis six ans, de l'ONU à régler les problèmes du Darfour, de la Côte d'Ivoire depuis une décennie, des Etats-Unis à faire avancer la paix au Proche-Orient, de l'OTAN à battre les Talibans en Afghanistan, du Conseil de Sécurité à maîtriser les questions coréenne et iranienne, de l'Occident à stabiliser le Liban, du G20 à mettre fin à la crise mondiale qu'elle soit financière, alimentaire, économique, sociale, monétaire, … pour constater que sur l'ensemble de la palette des catastrophes climatiques et humanitaires, comme des crises économiques et sociales, le système international est désormais impuissant.

En fait, depuis le milieu des années 2000 au moins, l'ensemble des grands acteurs mondiaux, au premier rang desquels se trouvent bien entendu les Etats-Unis et son cortège de pays occidentaux, ne fait plus que de la communication, de la gesticulation. Dans la réalité, rien ne va plus : la bille des crises tourne et chacun retient son souffle pour qu'elle ne tombe pas sur sa case. Mais progressivement la multiplication des risques et des thèmes de crise ont transformé la roulette de casino en roulette russe. Pour LEAP/E2020, le monde entier commence à jouer à la roulette russe (6), ou plutôt à sa version 2011 « la roulette américaine », avec cinq balles dans le barillet.

L'envolée des prix des matières premières (alimentaires, énergétiques (7),...) doit nous rappeler 2008. C'est en effet dans le semestre précédant l'effondrement de Lehman Brothers et de Wall Street que s'est situé le précédent épisode de fortes hausses des prix des matières premières. Et les causes actuelles sont de la même nature que celles d'hier : une fuite hors des actifs financiers et monétaires en faveur de placements « concrets ». Hier les gros opérateurs fuyaient les crédits hypothécaires et tout ce qui en dépendaient ainsi que le Dollar US ; aujourd'hui ils fuient l'ensemble des valeurs financières et les bons du Trésor (9) et autres dettes publiques. Il faut donc s'attendre entre le Printemps 2011 et l'Automne 2011 à l'explosion de la quadruple bulle des bons du Trésor, des dettes publiques (10), des bilans bancaires (11) et de l'immobilier (américain, chinois, britannique, espagnol, … et commercial (12)) ; l'ensemble se déroulant sur fond de guerre monétaire exacerbée (13).

L'inflation induite par les Quantitative Easing américain, britannique et japonais et les mesures de stimulation des mêmes, des Européens et des Chinois va être l'un des facteurs déstabilisant de 2011 (14). Nous y revenons plus en détail dans ce GEAB N°51. Mais ce qui est désormais évident au regard de ce qui se passe en Tunisie (15), c'est que ce contexte mondial, notamment la hausse des prix des denrées et de l'énergie, débouche dorénavant sur des chocs sociaux et politiques radicaux (16). L'autre réalité que dévoile le cas tunisien, c'est l'impuissance des « parrains » français, italien ou américain pour empêcher l'effondrement d'un « régime-ami » (17).

Impuissance des principaux acteurs géopolitiques mondiaux
Et cette impuissance des principaux acteurs géopolitiques mondiaux est l'autre chemin que la crise peut utiliser pour générer un chaos mondial en 2011. En effet, on peut classer les principales puissances du G20 en deux groupes dont le point seul point commun est qu'ils ne parviennent pas à influencer les évènements de manière décisive.

D'un côté on a l'Occident moribond avec, d'une part, les Etats-Unis, dont l'année 2011 va démontrer que le leadership n'est plus qu'une fiction (voir dans ce GEAB N°51) et qui tentent de figer tout le système international dans sa configuration du début des années 2000 (18) ; et puis on a l'Euroland, « souverain » en gestation qui est actuellement essentiellement concentré sur son adaptation à son nouvel environnement (19) et son nouveau statut d'entité géopolitique émergente (20), et qui n'a donc ni l'énergie, ni la vision nécessaire pour peser sur les évènements mondiaux (21).

Et de l'autre côté, on trouve les BRIC (avec en particulier la Chine et la Russie) qui s'avèrent incapables pour l'instant de prendre le contrôle de tout ou partie du système international et dont la seule action se limite donc à saper discrètement ce qui reste des fondements de l'ordre d'avant la crise (22).

En fin de compte, c'est donc l'impuissance qui se généralise (23) au niveau de la communauté internationale, renforçant non seulement le risque de chocs majeurs, mais également l'importance des conséquences de ces chocs. Le monde de 2008 a été pris par surprise par le choc violent de la crise, mais le système international était paradoxalement mieux équipé pour réagir car organisé autour d'un leader incontesté (24). En 2011, ça n'est plus le cas : non seulement il n'y a plus de leader incontesté, mais le système est exsangue comme on l'a vu précédemment. Et la situation est encore aggravée par le fait que les sociétés d'un grand nombre de pays de la planète sont au bord de la rupture socio-économique.

Des sociétés au bord de la rupture socio-économique
C'est en particulier le cas aux Etats-Unis et en Europe où trois ans de crise commencent à peser très lourd dans la balance socio-économique, et donc politique. Les ménages américains désormais insolvables par dizaines de millions oscillent entre pauvreté subie (25) et rage anti-système. Les citoyens européens, coincés entre chômage et démantèlement de l'Etat-providence (26), commencent à refuser de payer les additions des crises financières et budgétaires et entreprennent de chercher des coupables (banques, Euro, partis politiques de gouvernement, …).

Mais parmi les puissances émergentes aussi, la transition violente que constitue la crise conduit les sociétés vers des situations de rupture : en Chine, la nécessité de maîtriser les bulles financières en développement se heurte au désir d'enrichissement de secteurs entiers de la société comme au besoin d'emploi de dizaines de millions de travailleurs précaires ; en Russie, la faiblesse du filet social s'accommode mal de l'enrichissement des élites, tout comme en Algérie agitée par des émeutes. En Turquie, au Brésil, en Inde, partout la transition rapide que connaissent ces pays déclenche émeutes, protestations, attentats. Pour des raisons parfois antinomiques, développement pour les unes, appauvrissement pour les autres, un peu partout sur la planète nos différentes sociétés abordent 2011 dans un contexte de fortes tensions, de ruptures socio-économiques qui en font donc des poudrières politiques.

C'est sa position à la croisée de ces trois chemins qui fait ainsi de 2011 une année impitoyable. Et impitoyable elle le sera pour les Etats (et les collectivités locales) qui ont choisi de ne pas tirer les difficiles leçons des trois années de crise qui ont précédé et/ou qui se sont contentés de changements cosmétiques ne modifiant en rien leurs déséquilibres fondamentaux. Elle le sera aussi pour les entreprises (et pour les Etats (27)) qui ont cru que l'embellie de 2010 était le signe d'un retour « à la normale » de l'économie mondiale. Et enfin elle le sera pour les investisseurs qui n'ont pas compris que les valeurs d'hier (titres, monnaies, ….) ne pouvaient pas être celles de demain (en tout cas pour plusieurs années). L'Histoire est généralement « bonne fille ». Elle donne souvent un coup de semonce avant de balayer le passé. Cette fois-ci, elle a donné le coup de semonce en 2008. Nous estimons qu'en 2011, elle donnera le coup de balai. Seuls les acteurs qui ont entrepris, même laborieusement, même partiellement, de s'adapter aux nouvelles conditions générées par la crise pourront tenir ; pour les autres le chaos est au bout du chemin.

Article et annexes

norank



Merci Pragma Tic

Qu'est-ce qu'ils veulent dire par:

Seuls les (...) individus qui ont réellement entrepris depuis trois ans de tirer les leçons de la crise en cours pour s'éloigner au plus vite des modèles, valeurs et comportements d'avant la crise, traverseront cette année indemnes

Précisent-ils ce point dans un autre article?

Merci :-)

pragma tic



Bonjour,

Je ne suis pas sûr, mais compte tenu de leur façon de travailler, j'estime que cette phrase concerne les institutions, et non les individus.

C'est la version gratuite que j'ai citée, la version payante est plus développée, mais je ne suis pas adhérent.
A quoi bon, ma revue de presse vaut bien la leur, et mes analyses sont plus larges, moi je n'attribue pas la montée du prix des matières premières qu'à la spéculation.

4Leap 2011 anticipations ... Empty Re: Leap 2011 anticipations ... Mar 18 Jan - 15:09

norank



Si je lance le sujet "les gars, en 2011 ça va être la crise systémique globale",
et qu'on me demande pourquoi, quelle explication simple puis-je donner?

Je parviens pas à formuler Sad

C'est ça le raisonnement:

- épuisement des ressources
- plus de ressources => croissance diminue
- si croissance < 2%, le système s'écroule

?

5Leap 2011 anticipations ... Empty Re: Leap 2011 anticipations ... Mar 18 Jan - 18:03

pragma tic



Bonjour

Lancer un tel sujet devrait permettre une étude en profondeur du fonctionnement des hôpitaux psychiatriques belges ...

6Leap 2011 anticipations ... Empty Re: Leap 2011 anticipations ... Mer 19 Jan - 14:42

Galipette

Galipette

norank a écrit:Si je lance le sujet "les gars, en 2011 ça va être la crise systémique globale",
et qu'on me demande pourquoi, quelle explication simple puis-je donner?

Je parviens pas à formuler Sad

C'est ça le raisonnement:

- épuisement des ressources
- plus de ressources => croissance diminue
- si croissance < 2%, le système s'écroule

?

Ca dépend où tu lances ça?
Expliquer le raisonnement qu'on a tous eu en plusieurs années n'est pas gagné.

Je me suis appuyée sur les propos de Pragma tic pour relancer le sujet dans ma famille:

"Bonjour,

Il y a, depuis une dizaine d'années, une hausse continue des énergies et matières premières, qui vient mettre la pression sur l'économie et nous rapproche de la déflation (fin de la croissance).
Il s'agit d'une tendance de fond, qui a démarré il y a une quarantaine d'années, et que l'on met en évidence en consultant les chiffres de la croissance mondiale sur le site de la banque mondiale. En moyennant par dix ans, la croissance mondiale ralentit depuis quarante ans, pour passer en gros de 4,5% l'an à 2% l'an maintenant (moyenne sur dix ans).
Ce phénomène de fond est lié à deux éléments principaux ; dans un monde fini, la croissance est finie, dès lors que la connaissance scientifique a fait le tour et que l'organisation à suivi.
A l'échelle mondiale, on est bien avancé sur cette voie, ce qui commence à limiter la croissance indépendamment du problème des ressources.
Le problème des ressources vient dorénavant se superposer à ce problème de monde fini, et lui ne va pas seulement limiter la croissance, il va engendrer la décroissance.

Donc, depuis une dizaine d'années, ces contraintes se font de plus en plus cruellement sentir, générant des tensions dans notre organisation mondiale.

Celle-ci peut grossièrement se décrire en trois parties ; à la base, on trouve des sociétés d'hommes, organisées sur un mode consensuel à partir d'un système politique qui leur est propre.
Ces sociétés sont aujourd'hui très interdépendantes par un système économique, de production et d'échanges de biens et de services. Ce système est en partie consensuel (application de règles, désaccords réglés par l'OMC), mais s'impose de fait nettement aux sociétés, qui perdraient beaucoup à s'en retirer, et ne peuvent tout simplement le faire pour des raisons politiques pour la plupart.
Le système financier mondial constitue un troisième niveau, c'est la mise en oeuvre des monnaies et les articulations entre elles. Ce troisième système offre beaucoup de souplesse par rapport aux deux autres, car la monnaie est une création virtuelle qui a été mise en oeuvre pour répondre aux besoins des échanges commerciaux.

Comment se manifestent ces tensions au sein de notre économie mondiale ?
La montée du prix des énergies et matières premières provoque dans un premier temps une tendance à l'inflation, (hausse des prix), puis décourage l'initiative économique, à tous les niveaux : C'est exactement le contraire des soldes.

Nos sociétés constatent donc une tendance à l'arrêt de la croissance. Dans le passé, des crises ressemblantes ont eu lieu, mais il s'agissait alors de crises "structurelles", qui correspondaient à des évolutions dans nos modes de fonctionnement. Les économistes ont appris d'elles qu'il est intéressant d'investir dans des "plans de relance", ce qui permet de résoudre plus facilement ces crises en re-générant de la croissance, qui remboursera ultérieurement le plan de relance (en théorie).

Le problème est que ce mode de fonctionnement a amené les Etats à s'endetter, en entretenant la croissance par l'endettement.
On constate maintenant que ce système ne fonctionne plus (les plans de relance sont maintenant de peu d'effet), et que l'endettement des Etats est préoccupant, ce qui va mettre fin au système en question.

En fait, les Etats relançaient jusqu'à présent la croissance en empruntant sur les marchés, auprès des banques, qui utilisaient pour ça les dépôts de leurs clients. (description très grossière, qui a pour but de faire comprendre que c'était l'épargne accumulée qui permettait la relance).
Ce temps semble révolu, les Etats ne trouvent plus de prêteurs, un peu car la confiance ne règne plus, beaucoup parce que la demande d'emprunts dépasse la capacité de l'offre (l'épargne).

C'est en particulier le cas aux US et en Europe.
Alors pour tenter de continuer le système, ces Etats créent dorénavant de la monnaie, en très grande quantité. Ils utilisent donc l'aspect virtuel du système financier.

Le problème, c'est que cela ne durera pas éternellement. Car si les gens continuent à s'enrichir en monnaie, en revanche, vu les ressources, ils ne pourront plus s'enrichir physiquement. Cela marchera donc tant qu'ils chercheront à s'enrichir en épargne, mais ce sera de moins en moins le cas, car leur niveau de vie baissant, ils auront au contraire de plus en plus tendance à puiser dans leur épargne ... Ce qui devrait provoquer de l'inflation, in fine.

Et normalement, c'est seulement à ce moment là qu'avec le mécontentement des gens, les ennuis devraient commencer.
A moins que les plans de rigueur se généralisent, mais c'est pour l'instant l'apanage de "petits" pays.

On constate déjà, c'est vrai, des tensions politiques et sociales, mais rien de très menaçant à court terme, normalement.

Mais évidemment, toute crise politique ou sociale peut faire exploser ce système agonisant rapidement.

Il n'y a aucun complot d'envergure à mon avis.
Dans ce foutoir, c'est surtout chacun pour soi. Et ça le deviendra de plus en plus, vraisemblablement.

Il est cependant vrai qu'il devient de plus en plus difficile de s'informer, car les Etats craignent, à juste titre, une baisse du moral des citoyens, qui viendrait encore plus vite baisser la croissance ...

Et que ça prend donc un tour totalitaire, mais c'est pas vraiment une surprise.

Il ne faut pas s'occuper de tout ça, il faut se préparer à un maximum d'autonomie, en vue de passer le moins mal possible la période de crise aigüe qui approche ..."

Aucune réaction, c'est le désespoir!

7Leap 2011 anticipations ... Empty Re: Leap 2011 anticipations ... Mer 19 Jan - 19:53

pragma tic



Bonjour,

Mes frères et soeur, qui n'ignorent pas que je suis en pointe dans le secteur humain et social, et que j'ai épousé une chimiste physicienne, ce qui nous confère quand même un avis autorisé sur la question, ne souhaitent pas écouter mes explications à ce sujet.

C'est hélas à cela qu'on mesure la gravité du problème.

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